Artiste peintre et sculpteur français né en 1924 - mort à Elbeuf, Il rompt avec le classicisme référence d'Alfred de Dreux
“Tuons nos pères soyons libres !”
Roland Dubuc
Et si cet article n’était qu'un prétexte pour parler de l’animal dompté par l’homme : le cheval
Vers les années 1920, Eugène Paul, ami de Roland Dubuc travailla ses peintures essentiellement sur le meilleur ami de l’homme : le Cheval.
L’équidé prend une place majeure. Roland Dubuc par son trait nerveux devient plus libre, plus sensuel que son inspirateur Toulouse Lautrec et il simplifia la recherche d’Eugène Paul.
Roland Dubuc malgré sa maladresse, reprendra le sujet 30 ans après. Apparaît alors une concordance établie. Il n y a plus de diagonales folles d’Eugène Paul mais il subsiste encore chez Roland Dubuc des inspirations lointaines. Ils sont tout deux des représentants de l’Ecole de Paris, par leurs visions identiques. Roland Dubuc continua néanmoins à reproduire les mêmes sujets que ses prédécesseurs.
Il copie d’une façon répétitive, les peintres qu’il a fréquentés, simplifiant le geste, la couleur au profit d’une lecture naïve, presque écolière, pour faire chanter ses toiles.
Arpentant les rues d’un Paris déjà presque oublié, il fait resurgir le quotidien des ruelles animées, des maisons torturées, des personnages en déséquilibre, l'interprétation d’un Paris d’après-guerre. “Le temps n’avait-il pas changé ?”.
Demain la réalité poétique le fera tomber dans l’oubli, il savait être le dernier témoin d'une peinture déjà dépassée.
Il n’en reste pas moins que pour ce peintre égaré, ses images restent et font le bonheur des collectionneurs.